Histoire passionnée de la frite

Histoire passionnée de la frite

Por Etienne Moulron

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Sinopsis

Une promenade gourmande autour de la frite. De la pomme de terre et de sa découverte par les conquistadors à la « friterie » telle qu’on la connaît aujourd’hui, découvrez l’Histoire de la frite, bientôt classée au patrimoine immatériel de l’UNESCO. Saviez-vous que... ... la pomme de terre a longtemps été interdite par l’Église, car elle était considérée comme une « plante diabolique » ? ... la guerre de Crimée a joué un rôle important dans la démocratisation du paquet de frites dans les fêtes foraines ? ... le premier témoignage mentionnant la frite date de 1760 ? ... sainte Thérèse d’Avila était une grande amatrice de pommes de terre frites ? ... certaines personnes développent un syndrome d’auto-brasserie et atteignent l’ivresse rien qu’en mangeant des féculents ? ... ce n’est pas à Bruxelles que l’on vend le plus de paquets de frites par jour mais... à Shanghai ? ... Marie-Antoinette accrocha des fleurs de pommes de terre à sa boutonnière afin d’encourager les Français à introduire ce mets sur leur table ? Dans cet ouvrage original et décalé, Etienne Moulron invite le lecteur à une promenade gourmande autour de la frite, devenue un symbole, à travers ses origines, son histoire et les différentes façons de la cuisiner et de la manger ! (Re)découvrez la frite et toutes ses facettes : ses origines, son histoire et les différentes façons de la cuisiner et de la manger ! EXTRAIT Le bon vivant qui passe d’une friterie à l’autre mérite de vivre vieux. N’est-il pas le meilleur ami des brasseurs, des vignerons, des éleveurs et de tout le secteur de la restauration et de l’hôtellerie ? La Belgique n’est pas devenue prospère grâce au muesli et au jus de concombre, mais bien grâce aux ris de veau et à la trappiste. Supprimez les épicuriens et l’économie s’effondre. Ils sont les garants de la perpétuation de la culture bourguignonne et donnent le bon exemple à la jeunesse. Ils constituent des caves à vin et lisent des ouvrages culinaires pour le plaisir, comme si c’était de la littérature. Et pas un d’entre eux ne méprise la friterie. Ils connaissent trop bien les délices de la frite pour y avoir goûté quand ils étaient étudiants ou soldats. Ils en ont mangé des montagnes et combien de fois n’ont-ils pas consacré leurs derniers francs à l’achat d’un sachet de frites au petit matin ?

Etienne Moulron